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10/04/2010

Choc des Titans: hommage à Saint Seiya

Les chevaliers du Zodiaque source d'inspiration pour Le choc des Titans et Masami Kurumada aux pinceaux pour l'affiche japonaise du film

Le cinéaste Louis Leterrier a choisi le mangaka Masami Kurumada, bien connu pour sa série Saint Seiya (Les chevaliers du Zodiaque en français) pour réaliser l'affiche japonaise de son film Le choc des titans. Lors d'une interview, le réalisateur a affirmé être un grand amateur de l'oeuvre du mangaka. Il a d'ailleurs précisé que les armures des dieux de son film sont un hommage à Saint Seiya.

Il faut dire que la thématique du film est proche de celle du manga. Il s'agit d'une lutte entre les hommes et les dieux de la mythologie grecque. Le film est en salle en France depuis mercredi et pour certains cinémas en 3D. Il raconte la lutte de Persée contre Hadès. Ce dernier compte s'emparer du pouvoir de Zeus et « déclencher un enfer sur terre ».

Forum (PSUNE)

09/04/2010

Van Rompuy et la Turquie

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Etes-vous toujours opposée à l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne ?

Van Rompuy.
 Les négociations continuent. Dès le début, il a été convenu qu'elles prendront du temps. S'il y a un accord, il faut que le candidat soit accepté par tous les membres. Je me situe au niveau des procédures. Dans la situation où je me trouve, je n'ai plus de position personnelle sur le sujet. Je m'inscris dans le droit fil des décisions antérieures.

Ceux qui ont décidé des négociations avec la Turquie savaient très bien qu'une partie de ce pays n'appartenait pas au continent européen. Ils ont ouvert la possibilité que l'Europe dépasse les frontières géographiques telles qu'enseignées en classe de primaire.

In interview dans Le Monde | Forum du PSUNE

12:51 Publié dans Dépêches | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : van rompuy, turquie |

08/04/2010

Du caractère indivisible de la République

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zemmour2.jpg« Stigmatiseur », « protoraciste », « ethniciste », « chauvin », « réactionnaire » et j’en passe, tels sont les attributs que l’on impute à la personnalité d’Eric Zemmour telles des épitaphes se suffisant à elles-même dans l’optique de prononcer sa mort médiatique au nom d’une « paix sociale » dont la négation des points d’obscurité semble incarner la triste garantie, à supposer qu’une telle réalité soit encore d’actualité.

En faisant momentanément abstraction des innombrables procès d’intention dont le polémiste est victime, contentons-nous d’abord de récapituler les faits dans leur contexte. Le six mars 2010, le journaliste politique Eric Zemmour, connu pour ses positions jugées « sulfureuses » dans le cadre de ses interventions sur France 2, I-télé, RTL et France Ô, est l’objet d’une vive polémique conduite par nuls autres que la LICRA, le CRAN, le MRAP et le Club Averroès au nom de « l’anti-discrimination » et du respect de la sacrosainte « diversité » aujourd’hui tenue en estime quasi-liturgique par la société occidentale, société que certains fanatiques antisionistes de la repentance autoproclamés « non-alignés » se plaisent encore à dépeindre comme « fascisante ». A croire qu’ils se situent dans une autre dimension, mais passons.

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06/04/2010

Vers un nouveau monde ?

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A y regarder de près, nous vivons l'époque la plus étrange qui soit. Nous vivons dans le monde de la mondialisation. Non pas simplement la mondialisation des marchandises, mais celle de la libre circulation des capitaux, et surtout des hommes. C'est la première fois en effet que les élites pensent à mettre en place un gouvernement mondial, mettant au pilori de la honte toutes les formes de nationalisme, de régionalisme, et de défense des identités. Mais reste un problème : la réaction des peuples.

En effet, à y regarder de plus près, peu de monde est enthousiaste à l'idée de devenir un citoyen du monde. Malgré la propagande incessante, de nombreux partis nationalistes et identitaires voient le jour en Europe. En France, le Front National est revenu d'entre les morts pour venir hanter les urnes et effrayer les bobos bien pensants. Que dire de l'Italie, ou la Ligue du Nord fait un tabac, et vient de s'emparer de deux régions parmi les plus riches de la péninsule. Aux Pays-Bas, les islamophiles attendent avec frayeur de voir si le PVV de Geert Wilders remportera ou non les élections prévues en juin. Au Royaume-Uni enfin, le BNP est en train d'émerger bruyamment. Bref, tous les pays européens connaissent peu ou prou une montée des nationalismes et des fièvres identitaires.

Que dire de la Constitution européenne de 2005, rejetée très largement par les peuples français et hollandais, qui a montré que les gens ne voulaient pas d'un projet mondialiste pourtant activement soutenu par les technocrates de Bruxelles.

Ainsi, la mondialisation des capitaux et des hommes profitent à une oligarchie mais pas au plus grand nombre. Les milliardaires européens et américains, qui y voient un moyen d'investir dans des pays de bas coût de la main-d'œuvre. Les dirigeants chinois et indiens, qui profitent de leurs concitoyens dans le besoin, corvéables à merci pour des salaires de misère dans les usines, afin d'attirer les investisseurs étrangers. Les africains, à qui l'on fait miroiter le prétendu « el dorado » européen, et qui envoient des sous à la famille restée au pays.

Mais le dindon de la farce dans l'histoire, pour parler clairement, est le peuple européen. Victime de la désindustrialisation, du dumping social provoqué par les menaces de délocalisations et par la substitution de population, par la perte de l'identité, la montée de l'insécurité et l'émergence de radicalités religieuses.

En clair, nous avons un terrain de mécontentement, largement atténué par la propagande délétère du « politiquement correct ». Reste à analyser si c'est la bonne solution de faire confiance à ces partis de droite nationale, qui prétendent contester cet état de fait.

Dans un monde où la démographie est devenue une arme, il paraît présomptueux pour les petits pays européens vieillissants, de prétendre peser dans le jeu mondial. La Chine et l'Inde, avec leurs milliards d'habitants, ne peuvent que rire d'une France qui se veut le « phare du monde », avec ses 65 millions d'habitants.

Et le programme ensuite... Les partis de droite nationale proposent en majorité une politique de « national-libéralisme » ; ce qui n'est pas de bonne augure, la majorité des gens étant attachés aux acquis sociaux, notamment à la retraite par répartition et au système d'indemnisation du chômage, ou encore au système de sécurité sociale.

Reste à tirer la conclusion de ces deux faits : les pays d'Europe sont trop petits pour prétendre faire la loi au sein d'un espace mondialisé, et les gens restent en outre, et à raison, très attachés aux systèmes sociaux. Nous pouvons donc en conclure que seul l'euro-socialisme peut proposer un projet cohérent susceptible de rassembler les voix des mécontents et de ceux qui rêvent d'un autre monde, et surtout d'une autre Europe. L'Europe pour ses 800 millions d'habitants, et son territoire immense riche en ressources naturelles. Le socialisme pour une idéologie par essence européaniste, qui permet à chaque citoyen d'avoir sa place, et de manière digne, dans la société.

Face aux défis que nous impose ce nouveau monde, face à l'avenir, qui ne tolérera pas la moindre faiblesse de notre part, le PSUNE se doit d'être présent, et de proposer une nouvelle Europe. Une grande Europe, qui assurera à ses citoyens, à ses citoyennes, un avenir radieux.

Que ceux qui veulent d'une vraie Europe, européenne, d'une vraie gauche, socialiste au sens noble de ce terme, nous rejoignent. Vive l'Europe, vive le PSUNE !

"Tomichi" (PSUNE)

Révolution par les urnes et mode de scrutin

logo4c.pngUn mouvement qui aspire à une révolution « par les urnes », recherchant une légitimité populaire, démocratique, à son action, n'est pas maître du cadre politique dans lequel il entend inscrire son action, et notamment du mode de scrutin. Certes, il peut contester le système en place, lui reprochant de fausser le jeu démocratique, d'empêcher l'émergence de mouvements politiques novateurs, d'étouffer l'opposition. Mais il ne doit s'attendre à aucune fleur de la part des partis en place. Il lui appartient en conséquence de s'adapter à des circonstances dont il est la victime et qu'il ne peut pas modifier en sa faveur.

Le premier mode de scrutin est celui à l'anglaise, un seul tour et le premier dans chaque circonscription est élu. Ce système défavorise les petits partis, car le vote utile s'exerce immédiatement. Les libéraux démocrates britanniques, qui représentent 18% environ des suffrages selon les derniers sondages, disposent ainsi d'une place très limitée au sein du parlement. Les écologistes ou les nationalistes du BNP en sont totalement exclus. Aucune « révolution par les urnes » (revolutio urnis) n'est possible dans un tel cadre électoral. Le Labour, qui avait songé à réformer les institutions en introduisant une part de proportionnelle lorsqu'il était dans l'opposition, a renoncé immédiatement une fois au pouvoir. Notons que Nicolas Sarkozy souhaite adopter ce mode de scrutin pour faire élire les conseillers territoriaux en 2014, afin de limiter la victoire de la gauche et d'éliminer du jeu le FN.

Le second mode de scrutin est celui à la française, le scrutin majoritaire à deux tours. Il est appliqué aux présidentielles, où les deux meilleurs sont qualifiés pour le second tour, et aussi aux législatives, où il faut dépasser 12.5% des inscrits. Ce système verrouille encore davantage le jeu électoral que le système britannique. Ainsi, le Modem de Bayrou n'a réussi à faire rentrer que quatre députés au parlement et le FN, même à l'époque où il atteignait 15% des voix, au maximum un seul.

Le mode de scrutin le plus favorable à une revolutio urnis reste donc le système à la proportionnelle, généralement accompagné d'une barre minimale, qui est désormais de 3% en Grèce, 4% en Italie et en Suède, 5% en Allemagne, 7% en Russie et jusqu'à 10% en Turquie. En revanche, au niveau du parlement européen, les institutions de Bruxelles encouragent les états à pratiquer la proportionnelle la plus large possible, comme le fait l'Espagne par exemple et l'Italie au niveau des élections européennes. Même la France et le Royaume-Uni, si rétifs à ce mode de scrutin, l'appliquant aux européennes. Le FN, qui n'a aucun député national, dispose en revanche de trois députés européens. Le BNP, qui n'avait obtenu que 0.7% des voix aux dernières législatives, avec 6.5% des voix, fait rentrer à Strasbourg deux députés. Et dans le reste de l'Europe, des partis nouveaux, comme le Parti Pirate suédois, parviennent à obtenir des élus.

Ainsi, la seule élection qui en France permette d'obtenir des élus à partir d'un résultat de 6 à 7% par circonscription, c'est celle pour les représentants nationaux au parlement européen. Et c'est aussi le cas dans les autres pays du continent, avec des barres davantage accessibles encore. Les élections européennes en France ont d'ailleurs toujours permis la victoire de formations nouvelles, comme le FN en 1984 (11% des voix), le MPF de Philippe de Villiers (13% en 1999), Europe Ecologie (qui en 2009 a fait jeu égal avec le PS) ou encore la liste Tapie. Malheureusement, ce sont souvent des organisations souverainistes (UKip au Royaume-Uni, le LPR polonais en 2004... etc) ou pseudo-écologistes qui en profitent. Et si les européanistes-socialistes (euro-socialistes !) en profitaient eux aussi pour se faire connaître avec un programme bien plus révolutionnaire que le projet timide de Newropeans ?

Aux élections nationales, votez « national », même si ça ne servira à rien, quel que soit le parti, mais aux élections européennes, votez « européen » !

Thomas Ferrier (PSUNE/LBTF)

05/04/2010

La Turquie, de moins en moins européenne ?

bandeaubillets2ferrier2.png

Pic12-TurkWolf.gifParadoxe. La Turquie, lorsque le kémalisme était aux affaires, aspirait à rejoindre la civilisation européenne, à se transformer radicalement au niveau culturel, et dans l'idée d'Atatürk à se détourner progressivement de l'islam en s'appuyant sur le passé pré-islamique, hittite, grec comme turc. Lorsque les dirigeants occidentaux, comme De Gaulle et Adenauer, s'engagèrent en 1963 à faire de la Turquie un membre de la Communauté Economique Européenne, projet qui n'avait pas à l'époque de dimension politique, c'était une Turquie occidentalisée, européanisée, celle rêvée par Mustafa Kemal, qu'ils avaient devant les yeux. Il n'en était en vérité rien, et c'est aujourd'hui que l'on constate amèrement à quel point la révolution kémaliste a échoué. Les 20 à 25% de Beyaz Türkler, les « turcs blancs » c'est-à-dire les turcs occidentalisés, sont devenus otages dans leur propre pays.

Des bars vendant de l'alcool sont menacés, des chefs d'entreprise ne valorisant pas l'islamité perdent des marchés de l'état. Les épouses du président et du premier ministre sont voilées, tout comme les filles de Recep Erdogan, étudiantes installées à l'étranger pour pouvoir porter leur tenue islamique. Erdogan en 2008 est allé expliquer à la jeunesse turque d'Allemagne qu'il fallait refuser l'assimilation, dont la promotion était considérée comme un « crime contre l'humanité ». Cette déclaration n'était pas tant la mise en avant d'une turquité à conserver que d'une islamité dont il se veut le défenseur et promoteur et est d'ailleurs considéré comme tel par les autorités religieuses saoudiennes.

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23:45 Publié dans Analyses, Billets | Lien permanent | Commentaires (0) |

05/03/2010

Europhobe et "socialismophobe"

"La crise financière que vient de connaître la Grèce n’est vraisemblablement que le signe annonciateur d’une crise bien plus grave. D’autres pays d’Europe ont des déficits abyssaux qui pourraient les rendre insolvables et les placer au bord du dépôt de bilan : l’Espagne, le Portugal, l’Italie. Si ces pays se retrouvent dans la situation de la Grèce, la liste pourrait s’allonger et la France ne serait pas épargnée. C’est la raison pour laquelle j’étais extrêmement sceptique lors du lancement de l’euro : créer une monnaie unique pour des pays ayant des économies très différentes, des histoires et des parcours politiques très différents, des cultures très différentes, des règles sociales et fiscales très différentes créerait une situation où le cours de la monnaie et le taux de l’intérêt constitueraient toujours une cote mal taillée. Certains parlent, du coup, d’une politique économique unique pour les pays de la zone euro. Ils ne voient pas que ce serait accentuer l’absolutisme technocratique et la dimension constructiviste de l’édifice, sans permettre une quelconque amélioration durable. Ceci pour une raison très simple : c’est tout l’édifice qui a été conçu de manière viciée. En construisant l’Europe, on a parlé de marché, d’ouverture des frontières, de libre-échange. Mais on a aussi parlé de planification, de subventions, de quotas, d’aides à la production et à l’exportation, de protections, de fonds compensatoires. Et tout cela est venu imprimer la marque de corsets asphyxiants, de distorsions, de tentatives de sauver tel ou tel malade pour qu’il meure guéri.

Tout cela s’est accompagné aussi d’une adhésion d’ensemble à une vision dirigiste et socialiste des sociétés. Vladimir Boukovsky, qui a trop bien connu l’Union soviétique, a publié voici quelques années un ouvrage où il expliquait que l’Europe allait suivre la voie de l’Union soviétique, avec des variantes, puisque dans l’Union européenne, il reste des simulacres de démocratie et de liberté. Par ailleurs, plutôt que de miser sur la force militaire, l’Europe a misé sur la faiblesse et la soumission préventive. Mais, pour le reste, nous y sommes. [...]

Le dirigisme est essentiellement nuisible à la créativité entrepreneuriale. Le socialisme commence toujours avec la promesse frelatée et illusoire de la multiplication des pains et s’achève toujours par la réalité de la multiplication des pauvres. Ce n’est pas seulement la monnaie unique qui est en cause. Ce n’est pas seulement le dirigisme, le socialisme, l’absolutisme technocratique. Ce sont aussi les effets secondaires : vieillissement des populations résultant de la dénatalité, fuite du capital intellectuel, flux migratoires faisant venir des gens qui ont essentiellement leurs bras à offrir, alors qu’on a besoin de cerveaux, montée de l’islam parce que les populations qui immigrent sont essentiellement musulmanes et le restent d’autant plus qu’on ne leur propose pas de système de valeurs auquel elles pourraient s’intégrer. Je ne puis savoir à quoi ressemblera l’Europe dans cinquante ans, mais elle sera certainement plus pauvre, islamisée, lacérée de violences diverses, en état de décomposition avancée."

Source (Forum)

Il faudra m'expliquer en quoi les flux migratoires sont dûs au socialisme alors que de l'aveu même d'un Pompidou, "l'immigration c'est le problème des patrons". Par ailleurs, la dénatalité n'est-elle pas la conséquence d'un embourgeoisement de la société au nom de l'individu sacralisé, principe même du libéralisme politique et économique ? Quel intérêt ensuite de citer un Boukovski, anti-soviétique par nature, et rallié ouvertement au modèle libéral/atlantiste ?

L'UE ne meure pas du socialisme ou du dirigisme mais du fait qu'il n'y a personne de réellement énergique à sa tête (et ayant du pouvoir) et que c'est le libéralisme économique le plus outrancier qui y domine.

Ce sont libéralisme et souverainisme qui sont responsables de la ruine programmée de l'Europe. Qu'on ne se trompe pas d'ennemi.

Thomas Ferrier (PSUNE/LBTF)

Génocide : tensions USA/Turquie

AFP - 04/03/2010 | La Turquie a rappelé son ambassadeur aux Etats-Unis "pour consultations" aussitôt après l'adoption par une commission de la Chambre des représentants d'une résolution qualifiant de "génocide" les massacres d'Arméniens commis sous l'Empire ottoman, selon un communiqué officiel turc. "Nous condamnons cette résolution qui accuse la nation turque d'un crime qu'elle n'a pas commis", a déclaré le gouvernement turc. "A la suite de cet incident, notre ambassadeur à Washington, Namik Tan, a été rappelé à Ankara pour consultations", ajoute le communiqué. Le texte adopté par la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants américaine, par 23 voix contre 22, appelle le président américain à "qualifier de façon précise l'extermination systématique et délibérée de 1.500.000 Arméniens, de génocide".

Source (AFP via LeFigaro.fr)

La ligue arabe s'unit contre le peuple suisse

La Ligue arabe estime que la Suisse est "raciste"

Les Etats membres de la Ligue arabe ont adopté mercredi au Caire une position entièrement solidaire avec la Libye dans son différend avec la Suisse. Ils accusent Berne d'être "raciste". En Suisse, l'impact de l'embargo de Tripoli est largement minimisé, les échanges étant déjà très réduits.

La Ligue arabe, citée jeudi par l'ANSA, demande à l'Union européenne de réfuter la "liste noire" des 150 personnalités libyennes auxquelles l'entrée dans l'espace Schengen, liste qualifiée de "raciste". L'organisation condamne "l'utilisation de l'espace européen à des fins politiques". Au total, les ministres de 17 pays membres de la Ligue arabe, dont ceux des voisins de la Libye, ont signé le document.

En parallèle, le diplomate libyen Ali Aujali, en poste aux Etats-Unis, a expliqué à l'agence Reuters que le leader libyen Kadhafi, qui a appelé récemment au "djihad" contre la Suisse, évoquait un "boycott économique" contre la Confédération et non une "attaque armée".

Source (rsr.ch)

Eurosocialisme: la nouvelle voiture du peuple

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A commander dès la victoire du PSUNE ! Forum

00:46 Publié dans Dépêches | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ferrari |

04/03/2010

La gauche s'annonce triomphante en Lorraine

Le président sortant du Conseil régional de Lorraine, Jean-Pierre Masseret (PS), l’emporterait dans tous les cas de figure face à son adversaire Laurent Hénart (UMP-Rad) au deuxième tour des élections régionales, selon un sondage TNS Sofres/Logica pour la presse quotidienne régionale.

La liste socialiste arriverait en tête au premier tour, avec 34% des suffrages, suivie de la liste de la majorité présidentielle (26%), de la liste Europe écologie (13%). La liste du Front national, emmenée par Thierry Gourlot, recueillerait 10% des voix, ce qui lui permettrait de se maintenir au second tour.

Au second tour, en cas de duel opposant Jean-Pierre Masseret à Laurent Hénart, le premier l’emporterait en recueillant 59% des voix (41% pour son adversaire). De même, en cas de triangulaire avec le Front national, la liste Masseret obtiendrait 54% des suffrages, celle de Laurent Hénart 35%. 11% des suffrages se porteraient sur la liste frontiste.

Source (Forum)

Pour être précis, voici les sondages parti par parti...

Lutte Ouvrière: 6% (score énorme)
NPA: 1%
Front (Lorrain) de Gauche: 2%
Parti Socialiste: 34%
Europe Ecologie: 13%
Alliance Ecologiste Indépendante: 1.5%
Modem: 4%
UMP: 26%
Debout la Lorraine (DLR ?): 1%
Front National 10% (score limite permettant d'avoir des élus)
MNR/PDF/NDP: 0.5% (liste qui pourrait en progressant légèrement bloquer l'accès du FN au second tour)
La Voix Lorraine: <0.5%
Liste Lorraine Génération Solidaires (?): 1%

En cas de duel PS/UMP, le PS gagnerait avec 59% des voix contre 41% des voix, et en cas de triangulaire, l'UMP ferait 35% et le FN 11%. TF

Les fous d'Iran continuent à menacer

AFP, 4 mars 2010 | Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a appelé à l'unité des pays islamiques contre Israël qu'il a qualifié de "tumeur cancéreuse".

"Les gouvernements islamiques doivent défendre l'unité des musulmans et leurs droits, en particulier contre la tumeur cancéreuse Israël et ceux qui soutiennent" l'Etat hébreu, a déclaré le numéro un iranien dans un discours devant les hauts responsables iraniens à l'occasion de l'anniversaire de la naissance du prophète Mahomet. Il a ajouté que "malheureusement l'unité du monde islamique est affectée par les complots américains et britanniques qui veulent créer des divisions entre chiites et sunnites".

Source (Forum)

Pendant ce temps, le deuxième fou iranien, Ahmadenijad, lançait diverses imprécations vengeresses contre Israël en voyage en Syrie. TF

Football: victoire européenne

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L'équipe d'Espagne qui a joué et gagné 2-0 contre la France hier soir.

18:49 Publié dans Dépêches | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : espagne-france 2-0 |

02/03/2010

Non au voile en Europe !

Selon un sondage du Financial Times réalisé dans sept pays, ce sont les Français qui sont le plus favorables à l’interdiction du voile intégral, à 70%. Sur les sept pays dans lesquels les habitants ont été interrogés par le Financial Times, ce sont les Français qui se sont déclarés les plus favorables à l’interdiction du voile islamique intégral dans certains lieux publics. Selon le sondage publié mardi 2 mars par le quotidien britannique, ils sont 70% à soutenir son interdiction.

Dans les autres pays européens concernés par cette étude, les personnes interrogées se sont également prononcées majoritairement pour une législation allant dans ce sens, mais à un degré moindre qu’en France : 65% des Espagnols, 63% des Italiens, 57% des Britanniques et 50% des Allemands veulent l'interdiction du port du voile. En revanche, la mesure ne convainc ni les Américains, qui sont seulement 33% à soutenir un tel texte, ni les Chinois, qui sont moins de 30%.

Source (Nouvel Obs)

Sondage IPSOS Italia

En ce qui concerne la sécurité, 80% se disent tranquilles, surtout dans le Nord–Est, ce qui explique le succès de la Ligue. Ceux qui ne se sentent pas en sécurité sont au Sud, mais ne représentent que 20%. Les scandales ne sont, pour le moment, pas déterminants dans les intentions de vote. Le PdL perd un point (de 38,1 à 37,2 %) mais le PD ne gagne que 0,3 % (à 29,8 %) ; léger progrès de la Ligue (10,5 à 10,8 %) et recul de l’UdC (de 6 à 5,7 %) ; légère baisse de l’IdV (de 7,2 à 7,0 %), signe que les batailles sur la justice ne rapportent pas de voix, à ce stade. Source: Marco Galluzzo, Corriere della Sera.

Johnny Depp Européen !

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2 mars 2010, VSD | Devenir viticulteur dans le sud de la France et tourner avec sa compagne Vanessa Paradis sont les "rêves" de l'acteur américain Johnny Depp qui s'est confié au magazine français VSD à paraître demain.

"C’est un secret, mais l’un de mes rêves est de faire du vin. Mais je le garderai pour moi avant d’oser le commercialiser. Dans le Var où je vis, c’est très intéressant, notamment pour le rosé mais je préfère le vin rouge", précise Johnny Depp bientôt à l'affiche de "Alice aux pays des merveilles" de Tim Burton.

Fan de Louis de Funès, "l'un des plus grands acteurs de tous les temps", l'acteur confie aussi qu'il a "très envie" de tourner avec Vanessa Paradis. "La France m’a tout apporté. Une famille merveilleuse, mais aussi un équilibre qui me manquait énormément. Avec Vanessa et les enfants, nous vivons dans une sorte de hameau dans le sud de la France et j’ai l’impression d’être au paradis. C’est une propriété d’environ 15 hectares et vous savez ce que je fais, là-bas? Absolument rien !", dit-il.

Johnny Depp précise "qu'il [lui] arrive de ne pas quitter la propriété pendant trois mois". "J’ai une existence tellement simple que j’ai l’impression de me retrouver sur une autre planète. Quand je me réveille, je vais voir mon jardin, je regarde si mes légumes ont bien poussé, si certaines fleurs commencent à éclore. Le seul sujet de conversation, c’est les enfants. Tout tourne autour d’eux", confie-t-il.

Source (Forum du PSUNE)

01/03/2010

Ianoukovitch maintient le cap européen

AFP - 01/03/2010 | Le nouveau président ukrainien Viktor Ianoukovitch a affirmé aujourd'hui que "l'intégration européenne" de son pays était la "priorité" de sa politique extérieure, lors d'une visite à Bruxelles, son premier déplacement à l'étranger depuis son investiture.

L'Europe est un tout unique

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GENETIQUE – Le profil génétique d’un Européen permet de savoir de quelle région il vient…

En faisant analyser vos gènes, on pourra bientôt savoir si vos aïeux venaient de Picardie, de Bavière ou de Lituanie. C’est en tout cas ce que promettent les résultats de deux récentes études de génétique des populations en utilisant une nouvelle technique d’exploration du génome humain permise par les puces ADN : l’analyse des mutations individuelles (SNP).

Des profils et des distances

John Novembre et une équipe americano-suisse ont analysé une large base de données répertoriant les 200 000 variations génétiques individuelles d’un échantillon de 1387 Européens vivant dans 36 pays. A l’aide d’outils statistiques, ils ont ensuite établi un profil génétique numérique pour chacun des sujets, ce qui leur a permis de déduire une distance génétique entre chaque sujet.

Géopolitique des mutations

Ils se sont ainsi aperçus que la distance génétique entre deux individus était à peu près proportionnelle à la distance entre les régions où ils vivaient. En projetant graphiquement ce résultat, ils ont ainsi constaté que la carte des profils génétiques recouvrait la carte géopolitique de l’Europe. Ces travaux ont été publiés dimanche dans la revue « Nature » ; les résultats rejoignent d’ailleurs ceux déjà obtenus dans une étude similaire publiée début août dans la revue « Current Biology » et dirigée par le généticien hollandais Manfred Kayser.

Généalogie génétique

Les deux études montrent qu’en dépit des échanges incessants, des migrations et des invasions, les Européens gardent une odeur de terroir dans leurs gènes. « Cela rend envisageable la mise au point de tests génétiques permettant de connaître les origines géographiques d’un individu » explique John Novembre à 20Minutes.fr « sur notre carte géo- génétique, d’après leur profil, 50% des individus se retrouvaient à moins de 310 km du centre de leur pays d’origine, et 90% à moins de 700 km ».

Pas de races européennes

Toutefois, le chercheur tient à préciser que cela n’implique pas l’existence de « sous-races » européennes génétiquement différenciées. « En moyenne, les différences génétiques entre populations européennes sont négligeables : sur une échelle de 0 à 1 (1 représentant deux génomes complètement différents) le degré de différentiation génétique est d’à peine 0,004 entre régions européennes ; absolument pas de quoi parler de sous-races, en tous cas au sens biologique » poursuit John Novembre « la possibilité de déterminer la population d’origine de chaque sujet n’a ici été possible qu’en prenant en considération les dizaines de milliers des mutations ponctuelles dont il était porteur ; on a ensuite repéré celles qui étaient les plus fréquentes dans les différentes populations européennes pour inférer l’origine géographique de chaque individu ».

Yaroslav Pigenet

SOURCE (20 MINUTES - Le Monde)