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17/10/2010

"Défends la !", soutien aux victimes des criminels !

anika_smit.jpgElle s'appelait Anika Smit, jeune boer (euro-africaine) aux cheveux blonds ; elle habitait Pretoria, la capitale de l'Afrique du Sud. Ce jour maudit du 11 mars 2010, alors qu'elle n'avait pu se rendre à son école en raison d'une otite, son père rentrant chez lui retrouva le corps meurtri de sa fille, lâchement assassinée par des criminels africains, qui l'avaient même amputée des deux avant-bras, car la vente de membres du corps humain rapporte beaucoup sur le marché noir sud-africain, notamment pour être utilisés par la "médecine traditionnelle", faite de traditions animistes et de croyances, comme celles selon laquelle s'unir sexuellement à une jeune femme vierge permettrait de guérir du sida.

Du temps de l'apartheid, les media occidentaux relevaient toutes les actions de la police sud-africaine et les persécutions dont étaient victimes des africains noirs. Du jour où Fredrik De Klerk a mis fin à ce système, certes inique, certes choquant, il était vraisemblable que la réconciliation promise, et officiellement réussie, serait un échec, et que les afrikaaners pouvaient commencer à préparer leurs valises, ce qu'ils font de plus en plus, préférant l'Australie et l'Argentine ou même la vieille Europe plutôt que de rester dans un pays qui leur fait comprendre qu'ils ne sont plus chez eux. Ce n'est qu'un des multiples assassinats dont sont victimes des blancs, simplement en raison de leur origine européenne.

Ce crime odieux dont la presse européenne n'a pas fait écho d'une jeune femme de 17 ans me rappelle une affaire qui a décrié récemment la presse nationale. Une personne âgée, M. René Galinier, a tiré sur deux jeunes femmes d'origine rom qui avaient pénétré chez lui de nuit afin de le voler. Victime d'un acte criminel, c'est pourtant lui qui s'est retrouvé en garde à vue, mis en examen, et s'est vu refuser pendant des semaines toute libération au motif que lui, la victime, risquait des actes de rétorsion de la part de la communauté dont sont membres ces deux femmes. Malheureusement pour lui, il s'est laissé aller à proférer des propos peu amènes à l'égard de ces communautés d'importation. C'est ainsi que la victime devient le coupable et que c'est lui qui se retrouve en prison alors qu'il n'a fait que défendre ses biens.

Tous les jours, la presse évoque des crimes odieux commis contre nos concitoyens, comme cette femme de 49 ans, poignardée à mort ce matin dans le XIXème arrondissement de Paris, laissant un veuf et trois enfants qui ont perdu leur mère, ou comme ce jeune homme de 27 ans, décapité par un fou, en région Rhône-Alpes.

Alors que la moindre agression xénophobe, ou le moindre soupçon de racisme, comme les propos maladroits du parfumeur Jean-Paul Guerlain, suscite l'ire médiatique, des victimes elles aussi de racisme ne sont même pas évoquées, pourtant assassinées en raison de leur origine, du fait qu'elles sont européennes.

L'europhobie, ce n'est pas simplement les propos absurdes d'une partie de la droite nationale souhaitant l'idée que la France quitte l'Union Européenne, ce n'est pas seulement le refus de toute Europe politique et le rejet de l'idée d'avoir un destin commun avec ses voisins de même origine et de même culture que soi, c'est aussi tout simplement la violence et les crimes commis contre des Européens parce qu'ils sont européens !

Ce deux poids, deux mesures, doit cesser, et la justice et la police d'Europe doivent veiller à défendre les citoyens honnêtes contre les criminels au lieu de préférer servir de "police de la pensée" et réprimer les maladresses rhétoriques ou les propos choquants de X ou Y.

Le PSUNE s'associe à la souffrance des familles des victimes de ces nombreux crimes odieux qui émaillent l'actualité des différents pays européens. Dans l'Europe de demain, pour laquelle nous souhaitons contribuer à l'avènement, nous veillerons à ce que les victimes soient honorées et que les criminels soient réellement sanctionnés, avec toute la sévérité que les honnêtes citoyens attendent de leur justice, qui doit être à leur service !

Thomas Ferrier
Secrétaire général du PSUNE

05/03/2010

La ligue arabe s'unit contre le peuple suisse

La Ligue arabe estime que la Suisse est "raciste"

Les Etats membres de la Ligue arabe ont adopté mercredi au Caire une position entièrement solidaire avec la Libye dans son différend avec la Suisse. Ils accusent Berne d'être "raciste". En Suisse, l'impact de l'embargo de Tripoli est largement minimisé, les échanges étant déjà très réduits.

La Ligue arabe, citée jeudi par l'ANSA, demande à l'Union européenne de réfuter la "liste noire" des 150 personnalités libyennes auxquelles l'entrée dans l'espace Schengen, liste qualifiée de "raciste". L'organisation condamne "l'utilisation de l'espace européen à des fins politiques". Au total, les ministres de 17 pays membres de la Ligue arabe, dont ceux des voisins de la Libye, ont signé le document.

En parallèle, le diplomate libyen Ali Aujali, en poste aux Etats-Unis, a expliqué à l'agence Reuters que le leader libyen Kadhafi, qui a appelé récemment au "djihad" contre la Suisse, évoquait un "boycott économique" contre la Confédération et non une "attaque armée".

Source (rsr.ch)

02/02/2010

Kémi Séba et le Culte de l'Esclavage

Après sa brève sur Alain Soral publié dans nos colonnes, Stefan Heimliche propose à nouveau aux lecteurs de LBTF une analyse qui sabre le thuriféraire du MDI (Mouvement des damnés de l'impérialisme) Kemi Seba, sorte de Louis Farrakhan français selon le journal Jeune Afrique et initiateur de l'ancienne association "Tribu Ka" dissoute en juillet 2006 par le gouvernement français. Le jeune ethnologue Stefan Heimliche n'a désormais plus aucune pitié pour les extrémistes. Bonne lecture !

Il convient de préciser que ces deux articles sont destinés à éclairer le public internétique sur un certain nombre de "personnalités" radicales dont les partisans zélés prêchent la "bonne parole" sur divers sites, fora et blogs internétiques, mais aussi de fournir aux politologues des informations précises sur certaines structures. Pour ces raisons, Le blog Thomas Ferrier a estimé utile de faire connaître ces textes.

Ce texte n'engage que la responsabilité de l'auteur et en aucun cas le blog ou le mouvement qui lui est associé.


Kémi Séba et le Culte de l'Esclavage,

par Stefan Heimliche.

Kemi Seba… ou plutôt Stellio Capochichi de son véritable nom, ex-militant afrocentriste soi-disant repenti en faveur du courant "pan-africain", n’est jamais en reste lorsqu’il s’agit d’accabler ce qu'il appelle sionisme de tous les maux de la terre, quitte à ériger ce dernier au rang de force occulte prédestinant à tous les conflits à l’échelle du globe, voire les catastrophes naturelles pendant que nous y sommes.

Après avoir vociféré sans relâche contre ce qu’il désigne sous l’appellation très scientifique de « leucodermes», c’est-à-dire les « blancs », que Monsieur Capochichi accusait de nourrir un racisme presque héréditaire à l’encontre des « peuples à peau sombre », le «noir qui enseigne», car telle est l’interprétation symbolique « d’Etoile Noire », nom qu’il s’est attribué dans la langue des égyptiens anciens pour se baptiser, en est venu à redéfinir sa position après s’être, au cours d’un bref séjour effectué en milieu carcéral, converti à l’Islam, réalisant selon ses dires les axiomes racialistes du « raisonnement » qu’il avait jusque-là défendu, préférant cette fois opter pour une mise en avant du concept de « fraternité humaine » opposé au "sionisme", projet qu’il avait déjà préfiguré après la dissolution de la Tribu Ka et l’avènement du MDI, ou « mouvement des damnés de l’impérialisme ».

Il est intéressant de noter, à l’écoute de la diatribe tiers-mondiste de notre "ami" béninois, l’amalgame incessant formulé par ce dernier entre le "sionisme", en tant que qu’idéologie politique, et le concept d’ "impérialisme" dont il évite scrupuleusement de mettre en relief les connotations universelles, préférant se limiter à une interprétation judéocentrée de celui-ci, sans prendre en considération celui exercé de tous temps par les arabes, les japonais et les chinois pour ne citer qu’eux.

En d’autres termes, le «génie », si l’on estime l’emploi de ce terme légitime dans le contexte du discours tenu ici présent, de Kémi Séba consista à faire en apparence table-rase de la haine qu’il nourrissait et nourrit toujours à l’encontre de l’Occident, en pointant cette fois du doigt non plus, une population, non plus un continent, non plus une civilisation, mais une idéologie, idéologie dont il estime que tous les dirigeants européens sont les promoteurs, sous prétexte de leur afro-scepticisme, de leur complexe prétendu par rapport à la Shoah et de leur prétendue israélophilie doublée d’une hypothétique islamophobie, cela étant hautement caricatural et réducteur.

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11/01/2010

Un leader démocrate taxé de racisme anti-Obama

Game Change.jpgLeFigaro.fr | 11/01/2010 | Extraits | Dans un livre, Harry Reid explique que le président doit son succès a sa « peau claire» et au fait qu'il n'utilise «pas d'expressions de nègre». Si l'intéressé a accepté les excuses du sénateur, les républicains exigent sa démission. Un livre sur les coulisses de la présidentielle de 2008 sème la pagaille dans la classe politique américaine. Depuis la publication, ce week-end, des bonnes feuilles de Game change, le chef de la majorité démocrate au Sénat est dans la tourmente et accusé de racisme. Game change reproduit une conversation privée entre ses auteurs journalistes et Harry Reid au cours de laquelle le sénateur du Nevada attribue la popularité de Barack Obama à «sa peau claire» et à ses discours libres de toute «expression nègre, sauf s'il veut le faire». Le Parti républicain est immédiatement monté au créneau, exigeant la démission du cacique démocrate. (...)

«C'est le reflet d'une attitude», a dénoncé Michael Steele, le président afro-américain du Parti d'opposition. «Cela démontre un état d'esprit rétrograde quand vous utilisez des expressions des années 50 ou 60», du temps de la ségrégation , a fustigé Michael Steele, indigné par le mot «nègre». Les conservateurs, qui ont vu en 2002 leur chef quitter la présidence du groupe au Sénat suite à des remarques à caractère racial, ont reproché aux démocrates d'être bien plus tolérants lorsqu'un des leurs était sur la sellette. Des appels au retrait qu'Harry Reid a ignorés. L'élu du Nevada, qui exclut de partir, a riposté très vite. (...)

SOURCE (AFP via LeFigaro.fr)