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13/07/2013

Quand le pape François renie l'Europe !

Pagan_vs_christian.jpgIl y a quelques jours, celui qui se fait appeler « évêque de Rome », rejetant avec dédain l’image des papes de la Renaissance, défenseurs de l’humanisme européen, des papes capables de faire représenter l’Académie de Platon au sein même de leur palais et appelant au soutien en faveur des Byzantins, menacés de submersion par les conquérants ottomans, à savoir le pape Franciscus [« François »], s’est rendu sur l’île italienne de Lampedusa, qui subit depuis plusieurs années le débarquement régulier de clandestins africains, notamment musulmans, en grand nombre.
 
Au lieu d’apporter son soutien aux populations locales, il a préféré tenir un discours moralisateur condamnant le mauvais accueil que les Européens réservent à ces migrants clandestins qu’il a rebaptisés « réfugiés » et a appelé à l’ouverture à « l’Autre ». Ce discours, qui constitue un appel d’air supplémentaire à une immigration clandestine devenue insupportable aux yeux de plus en plus d’Européens, démontre si besoin est que la papauté tourne désormais le dos à l’Europe.
 
Il faut également savoir que François a refusé d’assister il y a quelques semaines à un concert dédié à l’Année de la Foi et où a été joué la neuvième symphonie de Ludwig von Beethoven, qui n’est autre que l’hymne européen. Il est vrai qu’un hymne qui commence par « O Freunde, tochter der Elysium », Ô Joie, fille d’Elysion, ne peut pas plaire à un pape rejetant la tradition humaniste européenne au profit d’un humanitarisme tiers-mondiste et marxisant tout à fait inapproprié.
 
Alors que l’Europe continue de se déchristianiser, annulant ainsi les effets de la conversion forcée de nos ancêtres par les talibans de Théodose et ses successeurs, le pape cherche à flatter ses nouveaux « marchés de la foi », que sont notamment l’Afrique et l’Asie. En Inde même, les évangélisateurs chrétiens et les prédicateurs musulmans travaillent main dans la main pour combattre l’Hindutva, l’idéologie nationale hindoue et indienne. Si l’Eglise a pris position aux côtés des jeunes Européens lors du débat en France contre le « mariage pour tous », c’est parce que cela ne lui coûtait pas cher, puisque les musulmans et les chrétiens africains sont en première ligne contre une telle disposition législative. Ces Européens, qui ont cru que l’Eglise les défendait, se sont trompés, de la même façon qu’ils ont été abusés par l’égérie Frigide Barjot.
 
Avec sa déclaration de Lampedusa, le pape François prend position. Il rejette les expressions par trop païennes de « souverain pontife », expression issue de la religion romaine ancienne (pontifex maximus), et de « pape », issue du mithraïsme. Il redevient donc l’évêque de Rome, mettant fin à cette papauté née de la ruine de l’empire romain et fondée sur un faux célèbre, la Donation de Constantin. Néanmoins, il continue de disposer des richesses accumuléss par l’Eglise lorsque celle-ci s’est emparée des biens des temples païens, du revenu des terres que les souverains chrétiens lui ont abandonnées et de la dîme payée par tous les paysans d’Europe occidentale pendant des siècles. Mais ces richesses, il n’entend pas les mettre à disposition des Européens dans le besoin. Une organisation vaticane comme Caritas apporte ainsi son aide aux populations immigrées venus du tiers-monde et installées en Europe, au mépris de lois que les gouvernements n’ont plus le courage de faire respecter et sans tenir compte de l’avis des populations européennes obligées de cohabiter avec des gens dont la présence n’était pas désirée et sur laquelle elles n’ont jamais été consultées.
 
Comme s’il s’agissait d’une réponse aux propos inconscients d’un pape qui encourage une évolution mortifère pour l’Europe, l’homme politique et ancien maire de Reykjavik, l’islandais Olafur F. Magnusson a réagi le 11 juillet dernier au projet de construction d’une mosquée en plein centre de la capitale. Il dénonce le caractère prosélyte de l’islam et, évoquant les émeutes de Malmö, souhaite protéger les femmes contre la violence religieuse et préserver l’identité nationale. Il ajoute même qu’il faut stopper l’expansion de l’islam.
 
Mais Magnusson ne le fait pas au nom du christianisme qui devrait se défendre contre l’islam, pas du tout même. Il explique que si un lieu de culte doit bénéficier du meilleur emplacement d’Islande, alors c’est à l’association Asatru, le mouvement païen germano-scandinave d’Islande, qui honore les dieux d’Asgard, Thor et Odin en tête, d’en disposer. Il affirme ainsi « le droit absolu » pour les Islandais païens « d’obtenir le meilleur emplacement dans la capitale » et ajoute qu’ « ils étaient là avant que les chrétiens ne leur imposent leur idéologie » et qu’ils sont « dans le pays depuis toujours ».
 
lampedusa,pape françois,immigrationnisme,gauchisme,paganisme,europe,clandestinsMagnusson démontre ainsi qui sont les véritables défenseurs de l’Europe et que c’est par le recours à la tradition spirituelle européenne la plus authentique que nous pourrons demain vivre dans une Europe puissante et protégée. Alors que la croix se fait croissant, le marteau de Thor, lui, ne faiblit pas.

Quand tous ces jeunes Européens, qui veulent sincèrement défendre l’Europe, et défilent même pour s’opposer aux forces d’involution à l’œuvre, se réclament du christianisme, ils sont abusés. Et à Lampedusa, les païens rendraient des sacrifices au dieu Neptune en personne pour que leurs côtes demeurent préservées.
 
Car défendre l’Europe et les Européens n’est pas une tâche facile et nécessite du courage politique et moral, celui de faire ce qui est nécessaire, avec toute la fermeté requise. Il est facile pour un pape de donner des leçons alors que ce n’est pas lui qui paiera les conséquences de son laxisme et de ses encouragements inconsidérés à un flux migratoire auquel il conviendrait de s’opposer.
 
Dans ce combat pour une Europe qui ne veut pas mourir, d’une Europe qui aspire à la renaissance de sa civilisation, le pape a choisi de se ranger dans le camp de l’Anti-Europe. L’Eglise n’y gagnera rien et continuera même de perdre le peu de crédit dont elle dispose encore sur notre continent. Et désormais, il est clair que les Européens n’ont à attendre aucun salut venant de la religion chrétienne, bien au contraire.
 
Thomas FERRIER

Secrétaire général du PSUNE

01/04/2013

Leçon de contre-europhobie n°1 : Schengen

schengen,europhobie,clandestinsLes europhobes, eurosceptiques et autres souverainistes (Le Pen, Wilders, Ganley, Klaus, Farage, Dupont-Aignan ... etc) attaquent systématiquement et de manière quasi obsessionnelle l’Union Européenne, ne se limitant pas à dénoncer les travers réels dont cette institution souffre en vérité. Pour eux, hors de question de vouloir réformer ou refonder l’Union Européenne. Il faudrait l’abattre. L'idée même d'une Europe politique unie leur fait horreur. Pour ce faire, quoi de mieux que de raconter n’importe quoi à nos compatriotes européens, accusant l’€ d’être responsable d’une crise économique pour laquelle il n’est pour rien, l’Islande ou le Royaume-Uni n’en ayant pas été spécialement épargnés.

Parlons donc de Schengen.

Le principe de Schengen c’est la suppression des frontières internes à l’Union Européenne, défendant ainsi le principe de la liberté de circulation des Européens en Europe. Même s’il existe des flux migratoires intra-européens, qui ne sont pas problématiques mais qui pourraient être néanmoins limités par la mise en place d’une véritable harmonisation sociale européenne, le reproche fait à Schengen concerne l’immigration clandestine, généralement en provenance d’Afrique.

Schengen supprime certes les frontières internes à l’Union Européenne mais ne supprime pas en revanche les frontières extérieures. Si elles sont mal protégées, c’est de la faute des Etats « nationaux » qui se trouvent aux frontières de l’UE, à savoir par exemple l’Espagne (notamment via Ceuta et Melilla, mais aussi via les Açores et les Canaries), l’Italie (Lampedusa) ou la Grèce (qui a pour cette raison construit un mur en Thrace afin d’y faire face).

La solution pour empêcher cette immigration clandestine, ce n’est pas le souverainisme, mais c’est la réalité de frontières européennes, avec un corps de douaniers européens pour les faire respecter, avec une force de police européenne pour arrêter les contrevenants et s’assurer de leur éloignement en dehors de l’Union Européenne. Pour que les frontières de l’Europe soient protégées, il faut un Etat européen pour mettre en œuvre cette politique. C’est parce que les Etats européens jouent les uns contre les autres, souhaitant que les migrants clandestins aillent chez le voisin, qu’il y a un problème.

La solution contre l’immigration clandestine, ce n’est pas « moins d’Europe » mais bien « plus d’Europe », à savoir que, quel soit le lieu d’arrivée du clandestin sur le continent, il doit être pris en charge de la même manière et a vocation à être rapidement relocalisé dans son pays.

23/01/2010

Netanyahu contre l'immigration africaine

janvier.jpg"Les infiltrations clandestines de migrants africains en Israël sont un phénomène dangereux à éradiquer", à déclaré le Premier ministre Netanyahou lors d’une réunion générale du patronat israélien. ”Ils provoquent des dommages culturels, et socio-économiques, et nous entraînent vers le Tiers-monde”, a-t-il ajouté.

SOURCE (GUYSEN NEWS) | Forum du PSUNE