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09/01/2010

Grèce: danger sur la nationalité

Et voilà, une fois de plus les FAUX "socialistes" trahissent leur peuple et l'Europe !

20070721Turquie.jpgLe courrier des Balkans | Presse : 23/12/09 | Mise en ligne : 07/01/10 | Extraits | Le Premier ministre Yorgos Papandréou (PASOK) a présenté le 23 décembre un projet de loi intitulé « Participation civique des citoyens d’origine grecque et des ressortissants étrangers qui résident de façon permanente en Grèce ». Lui-même a qualifié ce projet de loi de « pas important » en direction de l’intégration sociale des immigrés et de la protection de leurs droits. Il pense aussi que ce projet peut permettre de mettre en place de meilleures conditions de sécurité et de cohésion sociale. Ce projet a été discuté en Conseil des ministres et doit encore faire l’objet d’une concertation publique et d’un vote à l’assemblée parlementaire.

Pourront acquérir la nationalité grecque, s’ils en font la demande, les enfants d’immigrés qui sont nés en Grèce et dont les parents résident de façon permanente en Grèce depuis cinq ans ainsi que les enfants d’immigrés qui ont suivi six années d’enseignement dans une école grecque. De même, tous les enfants d’immigrés qui ont suivi trois années d’enseignement dans une école grecque pourront demander la nationalité grecque à leur majorité. Des dispositions particulières sont également prévues pour faciliter les possibilités d’octroi de la nationalité grecque aux enfants d’immigrés qui sont nés en Grèce et sont déjà adultes.

Le leader d’extrême droite Yorgos Karatzaféris demande, lui, qu’un référendum soit organisé sur la question. Ce projet de loi constitue selon lui un mauvais tour joué aux électeurs par le Premier ministre dans la mesure où, toujours selon lui, il n’avait pas annoncé sa politique envers les immigrés dans sa campagne électorale.

Avec l’archiépiscope Hiéronyme à ses côtés, Yorgos Papandréou a voulu, lors de ce Conseil des ministres, assurer ses arrières en annonçant ces mesures. Il semble que de nombreux ministres aient formulé en off leur inquiétude sur les répercussions de ce projet de loi sur l’opinion publique.

SOURCE (Le Courrier des Balkans)

En clair, en Grèce, le gouvernement veut briser la règle de Périclès (Periklis) sur le droit du sang et introduire le droit du sol dans la loi... Ce que voulait faire le gouvernement Prodi en Italie avant sa chute.

Non au droit oligarchique du sol, oui au droit démocratique du sang !

TF | Forum du PSUNE

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