Elle s'appelait Anika Smit, jeune boer (euro-africaine) aux cheveux blonds ; elle habitait Pretoria, la capitale de l'Afrique du Sud. Ce jour maudit du 11 mars 2010, alors qu'elle n'avait pu se rendre à son école en raison d'une otite, son père rentrant chez lui retrouva le corps meurtri de sa fille, lâchement assassinée par des criminels africains, qui l'avaient même amputée des deux avant-bras, car la vente de membres du corps humain rapporte beaucoup sur le marché noir sud-africain, notamment pour être utilisés par la "médecine traditionnelle", faite de traditions animistes et de...
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